Archive for 5 juin 2010

Homme/Femme : Mode d’emploi …

  

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    On est samedi et samedi c’est quoi ? Non, c’est pas Ravioli !
    Lecteur, tu te dévergondes, essaie de suivre un peu !

    C’est le jour de l’humour … Comment ça ne rime pas ? 

    Ah, l’humour toujours l’humour !!! Lis bien ce qui suit et tu verras qu’humour peut rimer avec amour …

 

    Comme d’habitude, et en résumé, sous forme de dessins humoristiques ou de blagues, je t’offre un condensé de la vie de couple et de son fonctionnement …

    Bien évidemment, les hommes en feront un peu plus les frais.
    Rien que de très normal, non ?

 

    Pour commencer on va parler du cerveau et tu comprendras très vite le pourquoi du comment de la chose que les messieurs font souvent une allergie à certaines tâches qu’ils délèguent, sans vergogne, à leurs femmes.
    Elles font ça si bien ! Pourquoi le faire à leur place.

 

    Tu connais le prix d’un cerveau ? Non ? Voici de quoi t’informer …

 

La scène se passe dans un hôpital :

 

Un patient, gravement malade gît sur son lit d’hôpital. La famille est réunie dans la salle d’attente bientôt rejointe par un médecin, le visage grave.

Il s’adresse à la famille : “Je suis désolé, je vous apporte de bien mauvaises nouvelles. Il n’existe qu’une seule chance de survie pour le malade, c’est une greffe de cerveau. Il s’agit d’une opération expérimentale, très délicate et risquée et dont la totalité des frais serait à votre charge.”

Silence complet … La famille est sous le choc. 
Un des membres se risque à demander : ” Heu , Docteur, combien coûterait un cerveau ?”

Le médecin : “Cela dépend, ce serait 5000 euros pour un cerveau d’homme et 200 euros pour un cerveau de femme.”

Tous les membres de la famille se regardent, sans rien dire.
Les hommes se retiennent difficilement de rire et évitent de regarder les femmes.
Un de ces messieurs se décide quand même à poser la question qui brûle les lèvres de tout le monde : “Docteur, pourquoi une telle différence de prix ?”

Le médecin sourit à cette question et lui répond : “Les cerveaux de femme coûtent moins cher car ils sont d’occasion ; ce sont les seuls à avoir été utilisés” ….     

Alors messieurs, on avait commencé à sourire à la moitié de l’histoire ? Elle est pas belle la chute ?

 

Voici maintenant ce qui est arrivé à deux religieuses, deux femmes elles aussi, et qui vont le prouver !

 

Deux religieuses se font suivre, dans la rue, par un homme à l’allure très louche. Elles pressent le pas, tournent à droite, tournent à gauche, l’homme les suit toujours et gagne du terrain.

Elles décident de se séparer. De cette façon il ne pourra pas s’attaquer aux deux. La plus âgée rejoint le couvent la première et se met de suite à prier pour le salut de sa jeune soeur.

Une heure passe et la jeune soeur arrive enfin …

Elle raconte alors ce qui s’est passé : “Malgré toutes mes tentatives, je n’ai pas pu le semer et il m’a finalement rattrapée et coincée contre une porte.”

L’autre soeur : “Et alors ? “

La jeune soeur : “Alors? Pour gagner du temps, j’ai fait ce qu’il m’a demandé. J’ai descendu son pantalon sur ses pieds”

L’autre soeur : “Et alors ? “

La jeune soeur : “Alors ? J’ai relevé ma jupe.”

L’autre soeur : “Mon Dieu ! Et alors ? “

La jeune soeur toute souriante lui répond : “Alors ? Une soeur qui relève sa jupe court beaucoup plus vite qu’un homme avec le pantalon sur les pieds !!! “

 

On comprend mieux pourquoi le cerveau des femmes sert davantage …

 

Tu te rappelles, lecteur fidèle, de Georges et Georgette ?

Aujourd’hui, Georges est en compagnie de son petit fils François qui a 25 ans et qui souhaiterait savoir comment c’est l’amour dans toute une vie d’homme. C’est vrai que Georges a 80 ans et a vécu bien des choses.

La discussion commence.

François : “Dis-moi Papy, c’était comment l’amour quand tu avais 20 ans ? “

Georges : “C’était MMS.”

François : ” Heu … bon, et à 40 ans c’était comment alors ? “

Georges : “C’était MMS.”

François dubitatif, persiste et demande encore : “Mais Papy, à 60 ans, c’était quoi ? “

Georges : “C’était MMS.”

François : “Et aujourd’hui Papy, tu as 80 ans, c’est comment ? “

Georges : “C’est MMS.”

François se demande si son grand-père n’est pas en train de perdre l’esprit et lui demande à quoi rime ce “MMS” qui a jalonné toute sa vie d’homme.

Georges lui répond alors : “Vois-tu mon petit, lorsque j’avais 20 ans, MMS c’était Matin, Midi et Soir. Quand j’ai eu 40 ans, MMS c’était Mardi, Mercredi et Samedi. A 60 ans, MMS c’était Mars, Mai et Septembre”.

François l’interrompt : “Et maintenant Papy, à 80 ans, c’est quoi l’amour ? “

Georges lui répond avec malice : “MMS, c’est Mes Meilleurs Souvenirs …”

 

Elle était mignonne celle-là … et pas trop méchante pour la gente masculine !

    Maintenant on passe à la phase dessins de notre article et tu vas voir qu’il y a encore bien des choses à découvrir sur la vie de couple. La vision des hommes et la vision des femmes sont un peu différentes et je vais te le prouver en images. De quoi sourire …

 

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On fait le beau ! Lis la suite …

 

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Un peu rêveuse peut-être ?

 

    Un peu de sciences naturelles, maintenant, pour mieux comprendre les méandres des cerveaux des deux sexes. Tout d’abord, celui de Madame.

 

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Maintenant celui de Môssieur !

 

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 Là, je pouffe !!!

 

Maintenant, un petit conte de fée … à méditer …

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Quand un homme et une femme pensent à l’amour …
Romantisme quand tu nous tiens !

 

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    Ce couple là, il a fini d’y penser de façon romantique ! On passe à la rubrique pratique de manière très directe ! 

 

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    Voilà, lecteur, c’est fini pour aujourd’hui, mais avant de te quitter je te livre une petite phrase à méditer : Avant tout chef-d’oeuvre, il y a un brouillon et c’est pourquoi Dieu créa l’homme avant la femme.” 
    … Passe une bonne journée.

 

 

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Domi …

 

 

Maman les p’tits bateaux …

 

 

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    Mais non, cher lecteur, je ne te nargue pas. Ce ne sont pas encore les vacances !

 

    Tu nous connais maintenant et tu sais qu’à Pexiora on a souvent le pied levé mais dimanche dernier, il fallait plutôt l’avoir “marin” pour une balade au fil de l’eau sur le Canal du Midi (Pour ta culture : le Canal du Midi est classé, depuis 1996, au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’Unesco. Il a été construit par Pierre-Paul RIQUET entre 1666 et 1681, est long de 241 km et comporte 65 écluses. Il relie Toulouse à la Méditerranée. Pierre-Paul Riquet ne verra pas l’achèvement de son oeuvre puisqu’il mourra en 1680). A toi de te documenter sur ce Canal pour te rendre compte du génie de son concepteur et de l’ampleur du chantier entrepris, en 1666, je te le rappelle.

   

    Revenons à notre balade nautique, avec repas sur la péniche, suivie de la visite du Site archéologique Amphoralis à Sallèles d’Aude (là où il va y avoir le Marché de la couturière le dimanche 13 juin – voir article sur ce même blog). 

 

    Un tout beau programme qui a débuté à 7h30, je sais c’est tôt pour un dimanche, et qui nous a amenés à Béziers après une heure et demie de route en car. Te dire que dans ce car on se serait cru en compagnie d’une colonie de vacances, on parle, on rigole. Bref c’est bruyant et ça finit de te réveiller … Nous étions 34 à partir pour cette excursion.

 

    Par contre, un qui n’était pas là, c’était le soleil ! Le vent du nord, lui, était bien présent et il ne nous a pas épargnés. Un certain nombre d’entre nous avaient été plus optimistes que d’autres sur l’évolution de la météo et s’étaient vêtus un peu trop légèrement. C’était sans compter sur la détermination des éléments qui ont un peu gâché notre plaisir en raison du froid ressenti.

  

    Mais à Pexioranais (coeur vaillant) rien d’impossible, donc on a bravé le vent et la froidure pour profiter au maximum de ce dimanche qui a permis à des messieurs, en général absents de nos sorties en semaine ainsi qu’à ceux qui sont souvent bloqués par leur emploi du temps d’être présents avec la bande des  “Filles de Pexiora”.

    Pour prendre l’air, on aura pris l’air … Je vais te raconter notre périple.

 

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    Tu prends donc 34 personnes, tu les mets dans un car, tu les transportes à Béziers non loin des Ecluses de Fonsérannes, haut lieu du Canal du Midi, et là, tu les transbordes sur une péniche où vaillamment elles prennent place sur le pont faisant fi de la température et du ciel chargé de nuages gris et du vent de secteur nord comme on dit dans la Marine …

    Les appareils photos sont sortis, la bonne humeur est au rendez-vous. Nous sommes fin prêts. Alors, allons-y, c’est parti pour quelques heures au fil de l’eau !

   

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    Nous quittons la rive et notre embarcation, Le Cap de Miol (tête de mule en occitan), se met en position pour passer la 1ère écluse de la journée, l’Ecluse de l’Orb, qui est la plus longue du Canal du Midi (40m de long). Tu peux apercevoir quelques tags sur les murs de cette écluse. Des artistes tagueurs ou grafeurs biterrois ont sévi. Dans le genre j’ai vu mieux (il existe des tags magnifiques, je t’en ferai découvrir). Voici cette 1ère écluse en photo.

 

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 La même vue de l’intérieur …

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    Cette écluse nous permettra d’atteindre le Canal de Dérivation pour accéder au Pont Canal sur l’Orb. Non tu n’as pas la berlue, tu as bien lu, il s’agit d’un canal qui est encastré dans un pont qui enjambe la rivière l’Orb qui est capricieuse et difficile à traverser (à croiser, en fait) pour les péniches. D’où la construction de ce superbe ouvrage de 28 m de large sur 240 m de long et d’une hauteur de 12,50 m. A Béziers on a aussi des bateaux qui circulent en hauteur, sur un pont !

    Lors de la traversée de ce pont on a une vue panoramique sur Béziers. Mes photos ne sont pas flatteuses, je le regrette, le ciel ne m’y a pas aidée, pas plus que mon appareil photo qui n’est pas performant. On s’en contentera pour aujourd’hui ! 

 

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Photo du Pont Canal trouvée sur le net …

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Panorama de Béziers (par moi) … Ce n’était pas de nuit comme on pourrait le croire ! 

C’est facile de se moquer …

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     Quelques rafales de vent plus tard nous arrivons au pied des écluses de Fonsérannes, en fait une écluse comprenant 7 portes et donc 6 sas, en escalier, que nous allons gravir (2 sas en contrebas ne sont plus en service) pour compenser un dénivelé de 21,71 m.
    Ci-dessous une vue aérienne, trouvée sur le net (tu t’en serais douté … pas de baptême de l’air en ce dimanche …), qui te montre les écluses et à droite, la “Pente d’eau” qui a servi un certain temps, voire un  temps certain dont je ne suis pas certaine, ça c’est certain  …

    Elle a été abandonnée car jugée trop dangereuse par les mariniers. Les péniches “embarquaient à
bord” d’un énorme engin sur pneus qui devaient leur faire monter ou descendre la pente. Mais, d’après notre Capitaine, la montée était difficile et la descente était périlleuse car les péniches avaient du mal à s’arrêter en bas de la pente lors de la descente, d’où l’abandon de cet ouvrage au profit des 6 sas toujours en fonctionnement aujourd’hui pour le tourisme fluvial.

 

canal-vue-aerienne  Le “tracteur” de péniches sur la pente d’eau à l’abandon.

 

    Nous attendons notre tour pour gagner la première des 7 portes. Il y a déjà pas mal de bateaux de tourisme sur le Canal du Midi où l’on doit respecter le code de navigation fluviale.

Tu aperçois, à gauche, la “pente d’eau” inutilisée et à droite l’entrée des Ecluses de Fonsérannes. Nous nous mettons bien dans l’axe et en avant toute ! 

 

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    La première porte s’entrouvre découvrant le premier sas dans lequel nous avançons et où nous allons être enfermés jusqu’à temps que le niveau du sas suivant soit atteint. Le lâcher de l’eau est très impressionnant, un vrai tumulte. Tu noteras, lecteur, la hauteur du pont avant le remplissage du sas et tu constateras qu’il nous faudra baisser la tête pour passer dessous quand l’eau aura fini de monter jusqu’à son niveau final.

 

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    A chaque niveau des écluses, nous aurons ce même spectacle accompagné du bruit et des remous. On n’imagine pas à quelle vitesse chaque sas se remplit, c’est vraiment très rapide. Chaque lâcher d’eau représente 700 m3. Durant cette montée, notre péniche a été suivie par des touristes en mal de photos, eux aussi, et qui vont nous mitrailler.

    J’en ai fait autant. Il est vrai que je ne m’attendais pas à trouver un groupe de touristes japonais en ces lieux. Pour preuve …

 

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    Après avoir gravi nos 6 étages nous allons naviguer tranquillement sur le Canal, à 8km heure, vitesse limite autorisée, et profiter de la vue. Nous croiserons des touristes  “aquatiques” et des touristes “terriens”. Des échanges de signes de la main ponctueront ces rencontres. Bien sympathique !

 

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    Nous avons traversé les charmantes communes de Colombiers, Poilhes, longé des vignobles où l’on produit le Merlot, admiré le paysage et vu un magnifique champ de coquelicots dont je te livre une photo, pas terrible je le sais, mais tu peux quand même te rendre compte de la beauté de ce parterre de fleurs. Tout ça accompagné par les explications éclairées de notre Capitaine que je tente, ici, de te rapporter.

 

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    Pendant que je mitraille à tout va (j’ai quand même fait 290 photos…), mes petits camarades ont, pour la plupart, déserté le pont supérieur et sont allés se mettre à l’abri à l’arrière de la péniche, en contrebas. Tu seras donc indulgent, lecteur, avec moi qui ai bravé le fort vent du nord pour pouvoir t’offrir ce “magnifique” reportage et aiguiser ta curiosité, te poussant ainsi à d’autres recherches pour te “culturer”.

    Chemin, pardon … ! Canal faisant, on passe d’autres ponts, on baisse encore la tête, du moins pour les quelques courageux restés sur le pont. Celui-là fait 3,30m au point le plus haut de sa voûte. Gare à la tonsure !

 

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    On naviguera encore un moment pour atteindre et passer sous le tunnel de Malpas entre Colombiers et Capestang. Ce tunnel est le tout premier à avoir permis à une voie d’eau de passer sous une montagne, en l’occurrence l’Oppidum d’Ensérune. Cette solution a été priviligiée par Pierre Paul Riquet, génial Maître d’oeuvre du Canal du Midi, plutôt que de contourner la montagne et de créer encore une écluse supplémentaire. Il mesure 165m. Son nom, Malpas, signifie “Mauvais passage” en raison de toutes les difficultés liées à sa réalisation.

 

    Je t’ai parlé de repas à bord, alors quand on entend : “vous pouvez passer à table”, c’est d’un seul homme qu’on se précipite à l’étage du dessous pour avoir notre pitance et se mettre enfin au chaud. Le bonheur quoi !

    On a commencé, pour la plupart, par un apéritif, moi ce fut Kir à la violette, ce qui va aussi m’aider à regagner quelques degrés, mes joues en témoigneront … puis soupe de moules avec muffin au chorizo, gardiane de taureau et riz, fromages, gâteau au chocolat, vin, eau, café. Un moment bien agréable partagé avec les copains et copines. 

 

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    Requinqués les Pexioranais ! Prêts à repartir pour la suite du programme de la journée en direction de Sallèles d’Aude vers le site archéologique Amphoralis.

   Là, on a été un peu déçus car la visite guidée prévue n’a pas eu lieu faute de personnel, l’atelier poterie n’a pas pu avoir lieu non plus faute de personnel aussi … Le site, à cette époque, semble à l’abandon. Il tourne au ralenti et les mauvaises herbes auraient besoin d’être arrachées. On y a, par contre, découvert une cariole, antique elle aussi …

 

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    Nous avons quand même pu, dans la partie musée, admirer des objets issus des fouilles qui ont duré 17 ans sur ce site et comme tu l’auras deviné d’après son nom, lecteur érudit, il s’agissait d’un village gallo-romain de potiers. Beaucoup d’amphores, de poteries de toutes formes, des tuiles, des bijoux et des objets de la vie courante et sous les “ailes”, à l’extérieur,
les vestiges de plusieurs fours dont on nous a expliqué le fonctionnement en nous projetant un film d’une demi-heure sur la tentative, réussie, des archéologues de construire, à l’identique, un four comme l’avait fait nos ancêtres les Gaulois et d’y cuire des poteries dans les conditions ancestrales. Y’a pas que la Blanquette qui soit ancestrale dans notre région … Assoiffé !

   

    Les animations débutent dès juin pour tout l’été. Toutes les informations ici.

 

    Après cette visite, retour au bercail, avec un petit somme pour certains et paroles, paroles, paroles pour d’autres … Nous avons passé un très bon dimanche, dans la bonne humeur, comme d’habitude. Merci aux copines des Ateliers Détente et Loisirs pour l’organisation de cette belle sortie.

 

   Stop !!! J’ai fini, j’arrête, plus une ligne pour aujourd’hui, je crois que tu as eu ta dose et encore j’ai “fait court” …  Mes amis et moi te souhaitons une bonne journée.

 

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 A demain … Domix