Nous sommes sous la pluie encore aujourd’hui, fine et légère, elle va faire du bien à nos terres assoiffées en pénétrant lentement et sans dégats. Pourvu que ça dure.
Et toi lecteur, avec un parapluie aussi ?
Si tu restes à l’abrit, face à ton écran tu vas pouvoir passer un bon moment j’espère avec ce nouveau Samedaille.
Deux bonnes sœurs, Sœur Marie et Sœur Laure rentrent le soir après une journée de vente de gâteaux… Sœur Laure, adepte de la logique pure, dit :
– Tu as remarqué qu’un type nous suit depuis 10 minutes ?
– Oui, je me demande ce qu’il veut…
– C’est logique, il veut abuser de nous !
– Quelle horreur, et en plus il va bientôt nous rattraper ! Que faire ?
– Logique, il faut marcher plus vite…
– Et elles accélèrent donc un peu pour semer le type.
Au bout de quelques instants, Sœur Marie dit :
– Ça ne sert à rien.
– C’est logique, lui aussi il a accéléré…
– Que faire ? Il va nous rattraper…
– Bon, logiquement, si on se sépare, il aura un problème…
Et elles se séparent… Sœur Marie à droite, Sœur Laure la logique à gauche…
L’homme décide de suivre Sœur Laure à gauche et Sœur Marie rentre au couvent. Elle et toutes les autres sœurs attendent donc avec impatience l’arrivée de leur consœur quand finalement Sœur Laure arrive au couvent. Dès son arrivée, elle est assaillie par les questions.
– Dieu soit loué ! Que s’est-il passé ?
– Je n’avais qu’un choix logique : courir le plus vite possible.
– Et lui ?
– Logique, lui aussi s’est mis à courir.
– Et alors ?
– La suite logique : un homme court plus vite qu’une nonne, il m’a donc rattrapé !
– Dieu du ciel ! Et alors ?
– J’ai fait la chose la plus logique. J’ai soulevé ma jupe…
– Oh, ma sœur… et lui ?
– Sa réaction fut très logique, il a baissé son pantalon.
– Quelle horreur ! Et ensuite ?
– Et bien c’est logique ! Une sœur avec la jupe en haut court plus vite qu’un gars avec le pantalon aux chevilles !
Que tous ceux qui espéraient une histoire de fesses récitent trois fois « Je vous salue Marie ».
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Aide : c’est une chanson
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Madame Dupont vient de perdre son mari. Le salon est rempli de fleurs, de visages tristes, de murmures feutrés. Chaque jour, les proches défilent pour dire adieu au défunt.
Et chaque fois, Marie, la servante, ouvre la porte avec une voix de stentor :
— Médéme ! C’est une visite pour le mort !
À force, madame Dupont en a plus qu’assez. Elle prend Marie à part, d’un ton sec mais digne :
— Ma fille, un peu de respect ! Désormais, vous ne direz plus « le mort », mais « monsieur ». Comme avant. C’est compris ?
— Oui, médéme.
À peine deux minutes plus tard… toc toc.
Marie court ouvrir, puis s’écrie, triomphante :
— Médéme ! C’est le croque-monsieur
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Commencée avec le Chat, nous terminons cette page avec lui encore., avant de passer à notre vidéo habituelle.
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Mon choix de ce jour : un tour de magie lecteur ….
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Gene


















