Ami lecteur, tu l’auras quand même ton Samedaille, même si c’est avec retard, mes occupations de fins de semaine m’ont éloigné de mon clavier.
Mais j’ai toujours du stock, et je vais faire en sorte que tu ais le sourire en cette matinée de dimanche.
La rivière
Trois hommes sont en excursion, lorsque soudainement ils arrivent à une grosse rivière déchaînée.
Il leur faut absolument se rendre de l’autre côté, mais ils n’ont aucune idée de la façon de s’y prendre.
Le premier prie Dieu en disant :
– S’il vous plaît, mon Dieu, donnez-moi la force de traverser la rivière.
POUF ! Dieu lui donne de gros bras et des jambes très fortes, et il réussit à traverser la rivière à la nage en deux heures, mais manque de se noyer à deux reprises.
Voyant cela, le deuxième homme prie lui aussi Dieu :
– S’il vous plaît, mon Dieu, donnez-moi la force… et les outils pour traverser la rivière.
POUF ! Dieu lui donne une chaloupe et des avirons et il réussit à traverser la rivière en une heure. Mais à deux reprises, il manque de chavirer.
Le troisième homme, fort de l’expérience de ses deux compagnons, décide lui aussi de prier Dieu
– S’il vous plaît, mon Dieu, donne-moi la force, les outils…et l’intelligence pour traverser la rivière.
POUF ! Dieu le change en femme. Elle vérifie la carte, marche environ 200 mètres en amont et traverse le pont.
.
.
Sans commentaire.
.
.
Sans papiers
Un sans-papier est habitué à faire la manche à proximité de la gare St Charles où tous les jours, il reçoit de la part d’un fonctionnaire navetteur un montant de 25€.
Il en est ravi, on peut le comprendre.
Cela dure pendant plusieurs années jusqu’au moment où soudainement, l’homme ne reçoit plus que 18 €.
Le sans-papier se persuade alors qu’au fond, 18 €, cela reste une somme non négligeable même si ce n’est plus 25 €. Une année passe de la sorte quand tout à coup, l’homme ne perçoit cette fois plus que 15€.
Là, il ne comprend plus… d’abord 25 €, ensuite 18 € et maintenant… 15 €.
Le lendemain, au passage du généreux donateur, le sans-papier lui demande :
– Excusez-moi, mais est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ou bien est-ce que je vous ai manqué de respect que vous me diminuiez progressivement votre dotation ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
– Ben oui, que voulez-vous, la vie devient de plus en plus chère et mon fils est entré l’année dernière à l’université et cela coûte beaucoup d’argent.
C’est la raison pour laquelle, je ne vous donnais plus que 18 €.
A présent que ma fille aînée est à son tour entrée à l’université, cela me coûte encore plus d’où le montant actuel de 15 €..
Sur ce, le sans-papier embraye :
– Et combien d’enfants avez-vous ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
– Ah, quatre magnifiques enfants, mes trésors…
Et le sans-papier d’enchérir d’un air soucieux :
“Vous n’allez quand même pas tous les faire étudier à mes frais !!!
D’actualité ….
Fais bien attention à la traduction lecteur, si comme moi tu es nul en anglais, cela en vaut la peine !
Gene