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Samedaille, nous continuons

 

 

 

Nos matinées sont bien rafraichies depuis quelques jours, et nous avons le paysage tout blanc le matin tout autour de la maison.

Hier le soleil est ressortir pour l’après-midi sans trop de vent, une journée agréable finalement que j’ai passé à broder au coin du feu.

Ce matin, je me suis dit que tu n’avais pas ton Samedaille lecteur, et qu’il allait peut être te manquer. Alors me voici avec la page de ce jour.

 

 

 

 

Il faut avoir un âge certain pour saisir tous les jeux de mots…

Nous étions vingt sans Scotto, qui était absent. Jean, du jardin,
sortit avec son beau vélo, et Thierry, l’ermite sortit enfin de chez
lui.

Nous sommes partis tranquillement, Jean-Paul roulant bon train, mais à
la première côte, Edith piaffe d’impatience, alors que Sophie
démarrait. Claude sautait dans sa roue, Françoise, hardie, les
suivait, alors que derrière Charles trainait. Je voyais Yves montant
la côte et Jean-Jacques debout sur ses pédales, alors qu’Alain, de
long en large, zigzaguait sur la route.

Je dis à mon copain : “Allez André, pousse”. Olivier, mine de rien,
suivait tranquillement, Sylvie, têtue, s’accrochait et Simone
s’ignorait un tel talent de grimpeuse. Puis la descente arriva.

Ayant peur, Pierre freinait, et, malheureusement, il y eut une chute .
Georgette plana par-dessus son vélo, Mathilde saignait au genou, Paul,
vers l’aine , avait mal à la jambe, David, douillet, gémissait et
Colette brossait son beau maillot.

C’est alors que Johnny a l’idée de s’arrêter. Alice donna à boire à
ses amis, Jean-Marie, Perrier à la main, se désaltérait, quant à
Gérard, de par Dieu, jura qu’on ne l’y reprendrait plus.

 

 

 

 

Au catéchisme …

– Puisque le Bon Dieu a ressuscité d’entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ?
Le petit Thomas lève la main et dit :
– Le Bon Dieu est au Paradis.
La petite Sophie dit :
– Le Bon Dieu est dans mon cœur.
Le petit Toto tout énervé lève la main, se lève et crie :
– Je sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains !
Toute la petite assemblée se tait, regarde le curé pour savoir si c’est la bonne réponse, mais celui-ci est abasourdi par la réponse de Toto. Après quelques secondes, il demande à Toto pourquoi il pense que le Bon Dieu est dans sa salle de bains. Toto répond :
– Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant :
” BON DIEU, T’ES ENCORE LÀ ?

 

 

 

 

Une jeune secrétaire est en train de faire des photocopies au bureau lorsqu’un de ses collègues de travail lui dit :
– Hmmm, tes cheveux sentent drôlement bon !
Aussitôt, la secrétaire va voir son chef et se plaint auprès de lui d’avoir été victime de harcèlement sexuel !
– Comment ça ? demande le patron
– Il m’a dit que mes cheveux sentaient drôlement bon…
– Et alors, s’étonne le chef, j’aurais plutôt pensé que c’était le genre de compliment qui vous aurait fait plaisir !
– Mais patron, C’est un nain…

 

 

 

 

La langue française

Quelle est la différence entre une pioche, un pull et une semaine ?
La pioche a un manche, le pull a deux manches et la semaine a dimanche

Quelle est la différence entre un internaute et son épouse dépensière ?
Pendant qu’il clique, elle claque

Quelle est la différence entre Paris, un ours blanc et Virginie ?
Paris est métropole, l’ours blanc est maître au pôle et Virginie aimait trop Paul…

 

 

 

 

 

Je me sens concernée …

 

 

Après cette évidence une petite vidéo lecteur ?

Pour rester dans nos températures actuelles.

 

 

 

 

Gene

 

Et le Samedaille revient

 

 

 

 

Ton Samedaille préféré et unique revient lecteur, même si il est un peu tardif en soirée !

Une belle réception de bons dessins et images ce matin m’a stimulé pour laisser de côté mes obligations et revenir vers toi passer un bon moment.

Merci à Rozmo qui m’alimente régulièrement en propositions humoristiques, propositions que tu retrouves lecteur tout aussi régulièrement dans cette rubrique de fin de semaine.

 

 

DANS UN BAR

Le barman est réputé avoir une poigne terrible. À tel point qu’un concours permanent est ouvert dont le prix est quand même de 1000 euros. . Le concours consiste en ceci: Le barman presse dans sa main un citron en faisant couler le jus dans un verre. Si quelqu’un est capable de faire donner une goutte de plus au citron après le barman, alors il gagne les 1000 euros ! Tout le monde des gros bras (les forts des halles,les dockers et autres haltérophiles) s’est essayé à ce petit jeu, mais personne n’a encore gagné. Un beau jour, un petit bonhomme, tout mince, tout fragile, avec des lunettes aux verres épais d’un centimètre se présente au barman et lui dit :

– J’aimerais tenter ma chance au concours !

Après que les rires se sont tus, le barman accepte. Il attrape un citron et le presse complètement. Ensuite, il tend les restes du citron au petit bonhomme. La foule qui regarde la scène pousse un hoo d’étonnement lorsqu’elle voit une puis deux puis trois puis… six gouttes tomber du citron pourtant sec !!!

– Et qu’est-ce que vous faites comme métier ? Bûcheron ou quelque chose comme ça ?

Et le petit bonhomme répond :

– Non, non… Je travaille aux impôts

 

 

 

Deux bonnes sœurs, Sœur Marie et Sœur Laure rentrent le soir après une journée de vente de gâteaux… Sœur Laure, adepte de la logique pure, dit :
– Tu as remarqué qu’un type nous suit depuis 10 minutes ?
– Oui, je me demande ce qu’il veut…
– C’est logique, il veut abuser de nous !
– Quelle horreur, et en plus il va bientôt nous rattraper ! Que faire ?
– Logique, il faut marcher plus vite…
– Et elles accélèrent donc un peu pour semer le type.
Au bout de quelques instants, Sœur Marie dit :
– Ça ne sert à rien.
– C’est logique, lui aussi il a accéléré…
– Que faire ? Il va nous rattraper…
– Bon, logiquement, si on se sépare, il aura un problème…
Et elles se séparent… Sœur Marie à droite, Sœur Laure la logique à gauche…
L’homme décide de suivre Sœur Laure à gauche et Sœur Marie rentre au couvent. Elle et toutes les autres sœurs attendent donc avec impatience l’arrivée de leur consœur quand finalement Sœur Laure arrive au couvent. Dès son arrivée, elle est assaillie de questions.
– Dieu soit loué ! Que s’est-il passé ?
– Je n’avais qu’un choix logique : courir le plus vite possible.
– Et lui ?
– Logique, lui aussi s’est mis à courir.
– Et alors ?
– La suite logique : un homme court plus vite qu’une nonne, il m’a donc rattrapée !
– Dieu du ciel ! Et alors ?
– J’ai fait la chose la plus logique. J’ai soulevé ma jupe…
– Oh, ma sœur… et lui ?
– Sa réaction fut très logique, il a baissé son pantalon.
– Quelle horreur ! Et ensuite ?
– Et bien c’est logique ! Une sœur avec la jupe en haut court plus vite qu’un gars avec le pantalon aux chevilles !
Que tous ceux qui espéraient une histoire de cul et une partie de jambes en l’air récitent trois fois « Je vous salue Marie » ….!!

 

 

Le problème avec la retraite c’est qu’on n’a jamais un jour de congé !

 

 

 

Petit Toto de la ville passe ses vacances chez son tonton, à la campagne.

Ce soir, il y a un vêlage à la ferme et le tonton est en train d’aider la Noiraude à sortir son petit veau.

Alors pendant toute la durée de l’accouchement, Toto demande :
– Tonton, tonton… J’ai une question à te poser !
– Pas maintenant Toto.

– Tonton, tonton… J’ai une question à te 

poser !
– Pas maintenant Toto.
etc…

Finalement, le veau sort enfin et le tonton dit à son neveu :
– Qu’est-ce que tu voulais demander, Toto ?
– Dis Tonton, à quelle vitesse il allait le veau quand il est rentré dans la vache ?

 

 

Un couple de retraités retourne chez le concessionnaire et constate que le vendeur avec qui il avait fait affaire venait de vendre la voiture qui l’intéressait à une belle jeune femme blonde en mini-jupe !

Le vieil homme était visiblement choqué. Il s’est adressé au vendeur brusquement :

« Jeune homme, je pensais que vous m’aviez dit que vous pouviez me réserver cette voiture à 95.000 € mais je viens d’entendre que vous venez de la vendre 75 000 € à la charmante jeune femme là-bas. Si je me souviens bien, vous m’aviez clairement indiqué qu’il vous était impossible de m’offrir ce modèle à moins de 95.000 €.

Le vendeur prit une profonde inspiration, s’éclaircit la gorge et saisit son café.

« Eh bien, que puis-je vous dire? Elle avait l’argent comptant, n’avait pas besoin de financement et, Monsieur, regardez-la, comment pouvais-je résister ? » répondit timidement le vendeur très mal à l’aise.

Juste à ce moment, la jeune femme s’approche du couple et donne les clés de la voiture au vieil homme.

«Voilà!» dit-elle. « Je t’avais dit que je pourrais faire baisser le prix à cet idiot.

 

 

 

 

Je vais terminer là avec notre vidéo habituelle. En musique en principe, si tu aimes le tango à écouter (et peut être danser) tu vas te régaler.

 

 

 

 

 

Gene