La passion au bout des doigts, le NOUVEAU blog !!!

 

Tu es là lecteur ?

Alors c’est bon, nous pouvons y aller dans la découverte de ce nouveau Samedaille.

 

 

 

Pierre Dac

– Offre bonne place de gardien de vaches. Paiement par traites.

– Inventeur produit amaigrissant cherche grossiste.

 – Cause fausse alerte, vend cercueil en ébène, jamais servi.

– Chien à vendre : mange n’importe quoi. Adore les enfants.

– A vendre robe de mariée portée une seule fois.. par erreur !!

 

 

 

 

 

 

 

 

Le paradis

C’est 2 types qui arrivent en même temps au paradis et y’en a un qui dit à l’autre !
– Pourquoi t’es là toi ?
– Ben moi je suis mort de froid et toi !
– Moi je me doutais que ma femme me trompait
alors je suis rentré plus tôt pour la surprendre,
Je l’ai trouvée nue dans son lit mais y’avait personne avec elle, alors j’ai cherché partout dans la maison pendant plus de 4 heures !
J’ ai tout fouillé et à un moment mon cœur s’est emballé et j’ ai eu un arrêt cardiaque !

Et la l’autre gars le regarde et lui dit:

Et ben c’est con parce que t’aurais regardé direct dans le congélateur, on serait encore vivants !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le miel

Une goutte de miel tomba sur le sol.
Une petite fourmi, attirée par sa douceur, s’approcha et y goûta.
Le miel était si délicieux qu’elle ne put résister à l’envie d’y revenir.
Elle prit une autre gorgée, puis une autre encore, chaque fois plus envoûtée par ce nectar divin.  

Mais bientôt, la fourmi, insatiable, voulut plus.
Elle décida de plonger entièrement dans la goutte de miel, de s’y baigner, de s’y perdre.
Elle y entra, s’y enveloppa, s’y noya.
Hélas ! Le miel, si doux, devint sa prison.
Ses petites pattes, engluées, ne purent plus bouger.
Elle lutta, se débattit, mais en vain.
Le miel, lentement, l’enserra, l’immobilisa, l’étouffa.
Et la fourmi, prisonnière de sa propre gourmandise, périt dans cette douceur mortelle.  

Les sages disent :
*Le monde n’est qu’une immense goutte de miel.*
Celui qui se contente d’y goûter avec modération trouve la paix.
Mais celui qui s’y plonge, avide et insatiable, s’y engloutit et se perd à jamais.
La tentation est douce, mais son piège est fatal.
La sagesse réside dans la mesure, et la folie dans l’excès.  

Ainsi, le monde, comme cette goutte de miel, offre ses délices à ceux qui savent s’en contenter,
Mais il dévore ceux qui s’y abandonnent sans retenue.

 

 

 

Contrôle de police

    – Y a-t-il un problème, Monsieur l’agent ?
   – Oui, madame. J’ai bien peur que vous rouliez à une vitesse excessive.
    – Ah, je vois.
 – Est-ce que je peux voir votre permis de conduire, svp ?
– Je vous le donnerais bien, mais j’en ai pas.
   – Vous n’en avez pas ?
   – Non. On me l’a retiré il y a 4 ans pour conduite en état d’ivresse.
   – Je vois… Est-ce que je peux voir la carte grise du véhicule ?
   – Je n’en ai pas non plus.
   – Pourquoi ?
   – J’ai volé cette voiture.
   – Vous l’avez volée ?
   – Oui et j’ai tué le propriétaire.
   – Vous avez fait quoi !
   – Les parties du corps sont dans des sachets en plastique dans la valise qui se trouve dans le coffre, si vous voulez les voir.
   Le policier recule très lentement de la voiture en regardant la femme puis appel du renfort.
Quelques temps après, d’autres voitures de police encerclent la voiture de la vieille femme et un policier avec un pistolet à la main s’approche lentement d’elle et lui dit
– Madame, veuillez sortir lentement de votre véhicule, les mains en l’air !
   La vieille dame s’exécute. Elle s’adresse à l’officier qui la tient en respect :
   – Y a-t-il un problème, Monsieur l’officier ?
   – Mon collègue m’a dit que vous avez volé cette voiture et assassiné son propriétaire.
   – Assassiné le propriétaire ? Etes-vous sérieux ?
   – Oui, pourriez-vous svp ouvrir la valise dans le coffre de votre voiture ?
    La dame exécute et ouvre la valise, mais il n’a rien à l’intérieur. Le policier poursuit :
    – Est-ce votre voiture, madame ?
    – Oui, voici la carte grise et l’attestation d’assurance à mon nom.
   L’agent qui l’a arrêtée est tout à fait surpris. L’officier le regarde courroucé, puis se tourne à nouveau vers la vieille dame :
– Mon collègue m’a dit aussi que vous n’avez pas de permis de conduire.
   La vieille dame ouvre son sac, sort son permis et le montre au policier. Celui-ci regarde le permis puis lui dit :
   – Merci madame. Je suis vraiment confus. Mon collègue m’avait dit que vous n’aviez pas de permis, que vous aviez volé cette voiture et que vous aviez assassiné le propriétaire !

    – Je parie que ce menteur vous a aussi dit que j’allais trop vite…

          J’adore cette petite mémé

 

 

 

Sur ce, nous passons à la vidéo lecteur.

 

 

 

 

 

Gene