Dolce& Gabbana

 

 

Je n’avais rien prévu aujourd’hui pour toi lecteur, et puis c’est l’actualité sur les blogs qui s’est imposée à moi et à toi en suivant lecteur.

Si comme moi tu es loin de la région parisienne, tu vas regretter de ne pouvoir admirer la merveilleuse exposition de ces immenses couturiers italiens que sont Dolce & Gabbana.

C’est la couture à son plus haut  niveau, avec même du point de croix et du patch !!! Chapeau bas à toutes celles et ceux qui dans leurs ateliers ont tiré l’aiguille pour arriver à produire ces merveilles.

L’esposition s’appelle :

Du Cœur à la Main

 

Pour te la présenter je te donne tout d’abord la description qu’en fait la commissaire organisatrice :

Réunissant pour la première fois les créations uniques de la maison de mode de luxe, « Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana » est une lettre d’amour ouverte à la culture italienne, source d’inspiration constante de Domenico Dolce et Stefano Gabbana. L’exposition retrace l’itinéraire esthétique de leurs créations, d’abord portées dans leur cœur, puis exécutées à la main dans leurs ateliers.

Conçue par l’historienne de la mode Florence Müller, l’exposition célèbre Dolce&Gabbana en tant que symbole du style italien, et remonte à l’origine du songe extraordinaire devenu la réalité de leur Alta Moda. Elle explore une approche singulière dans le monde du luxe, faite d’élégance et de sensualité, mais aussi d’humour, d’impertinence et d’extravagance.

Les modèles exposés, des pièces uniques réalisées par des artisans italiens dotés de savoir-faire incomparables, mettent en évidence les différents éléments de la culture italienne qui nourrissent les créations de Dolce&Gabbana. L’exposition, selon un parcours thématique, reflète la richesse de leurs inspirations puisées dans l’histoire de l’art italien, l’architecture, l’artisanat, les cultures régionales, la musique, l’opéra, le ballet, le cinéma, les traditions folkloriques, le théâtre et bien sûr – « la dolce vita ».
Florence Müller

 

Et puis une vidéo un peu longue mais très complète, à voir pour en savoir un peu plus sur les deux couturiers et la façon dont leurs œuvres sont présentées.

 

 

 

En complément de la vidéo, voir chez

Les secrets de Igor

 

Ensuite tu pourras aller voir des photos  sur le blog de

Histoire de patch 

 

Et puis aussi sur le blog de Vava :

Talons Aiguilles

 

Les critiques sont dithyrambiques au sujet de cette exposition qui a dû être prolongée à Paris (comme à Milan d’où elle vient).

 

D’un écrin doré fabriqué à partir de centaines de tesselles étincelantes à une époustouflante église baroque d’une noirceur abyssale, en passant par la reproduction de la mythique salle de bal du chef-d’œuvre de Visconti Le Guépard, le Grand Palais se métamorphose dans un mélange de théâtralité, d’excès et de passion, en une cathédrale de lumière, recouverte de miroirs et brodée de pierres précieuses. Derrière l’opulence, les strass et les paillettes, cette exposition irrésistiblement grandiose célèbre dans un ballet d’étoffes somptueuses un art sacré dont les couturiers sont les véritables déités.
Arts in the city

 

Tu trouveras d’autres vidéos et articles sur internet si tu veux te plonger encore plus dans cet univers féérique, je te les laisse chercher si tu le souhaites lecteur.

 

 

Gene

 

Samedaille et plus

 

 

 

Seras-tu en forme dimanche matin lecteur ou bien auras tu la même tête que notre bestiole en ouverture ?

Pourquoi ?

Parce que nous allons changer d’heure bien sûr et nous lever  une heure plus tôt.

 N’oubliez pas d’avancer vos horloges d’une heure

dans la nuit du 29 au 30 mars 2025.

 

Changement d'heure | Agglobus

 

 

Autre sujet, les fils des dernières commandes reçues cette semaine sont tous partis, les derniers hier.
J’attends de nouveaux courriers pour voir diminuer notre stock 2025 jusqu’à la fin comme chaque année lecteur ….

 

 

Et là, eh bien c’est parti pour notre dose d’humour habituelle.

 

 

 

Belles phrases

Il faut marcher dans l’obscurité pour apercevoir la lumière.
Denis Lapointe

Souffrir, c’est donner à quelque chose une attention suprême.
Paul Valéry

Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant.

Il y a toujours dans le monde une personne qui en attend une autre.
Paulo Coelho

La beauté n’est pas dans l’objet regardé, mais dans nos yeux.
Jean-René Hugueinin

 

 

 

 

Bonjour M. le curé, je me pose une question : qu’est-ce qu’elle faisait comme métier, la Vierge Marie ?
– Elle était mère de famille, mon petit René
– Alors pourquoi a-t-elle mis Jésus à la crèche, comme mon frère et moi?

 

Deux prêtres catholiques discutent en marchant dans un jardin.
– Crois-tu que nous verrons un jour le mariage des prêtres ? demande l’un.
L’autre de lui répondre :
– Nous non, mais nos enfants, sûrement       

 

 

 

 

Non mais!!!

Avant que la saison estivale ne commence et afin que vous, visiteurs des Landes et alentours, ne commettiez d’impair irréparable… nous voulions vous conter une légende du Sud-Ouest que l’on tient d’un grand conteur.

Voici la seule, la véritable histoire de LA CHOCOLATINE ….ce que, dans les froides régions de France et même parfois moins froides, on appelle « pain au chocolat »!

Tout a commencé il y a fort longtemps, dans une ville baignée par une rivière ou un fleuve, ma mémoire me joue des tours, ce dont je me souviens c’est qu’Adour ou Dordogne, il était bien du Sud, 

Dans cette ville, il y avait une boulangerie avec un boulanger, une boulangère et deux adorables petites filles.

Pour ses deux petites merveilles, chaque matin, l’artisan glissait un carré de chocolat dans un bout de miche encore chaude. La croûte qui cédait sous la dent et le doux parfum du cacao fondu étaient un résumé du bonheur sur terre et les gamines n’auraient loupé pour rien au monde ce délice matinal !

Oui mais voilà, même les plus simples bonheurs sont parfois troublés et un beau matin les clients de plus en plus nombreux firent main basse sur toute la fournée! Plus un seul morceau de pain frais dans la boulangerie pour préparer aux pitchounes leur gourmandise matinale! Alors, le papa, tendre et aimant, pensa aux croissants qui finissaient de cuire.

Viste hèit, (vite fait) il défourna les viennoiseries et glissa un carré de chocolat dans chacun des croissants encore vibrants de chaleur. Les enfants se régalèrent !! Et le soir, en rentrant de l’école, elles demandèrent à leur papa de bien vouloir leur refaire tous les matins ce délice.

Pris par l’enthousiasme de ses filles, le boulanger fit le lendemain un plateau entier de viennoiseries fourrées d’une bille de chocolat

et il en fit la surprise à ses clients.

Comme souvent, dans nos villes et villages du Sud Ouest, quelques britanniques vivaient là, et une dame anglaise croquant à belles dents dans la nouveauté s’écria surprise « Oh My God! there’s chocolate in it »

« Chocolate in » cela résonna à l’oreille du boulanger qui décida que cette nouvelle viennoiserie porterait désormais le doux nom de « chocolatine ».

Voila toute l’histoire!! Alors, bien sûr, il y eut des envieux et certains imitateurs, ayant mal compris, essayèrent de faire cuire du pain fourré au chocolat, le fameux « pain au chocolat »….!! qui ne fût qu’une pâle imitation vite balayée par la chocolatine! Mais, ces jaloux par rancune, se refusèrent à changer le nom et rebaptisèrent traîtreusement la merveilleuse chocolatine en « pain au chocolat ».

Enfin voilà! Mesdames et messieurs, la seule, l’unique, la véritable histoire de la chocolatine….  celle que j’ai entendu conter dans les feuilles des chênes sur le bord des rivières, dans les aiguilles des pins en bord d’océan… Et depuis, de l’Adour à la Dordogne, de la Dronne à la Garonne, du Lot à la Vézère, il est une viennoiserie dont tout le Sud-Ouest raffole et qui fait le plaisir de nos dimanches matins… La CHOCOLATINE!!

Alors quand vous entrez dans une boulangerie de chez nous, ne vous y trompez pas! Après un bonjour de politesse et avant un adishatz de courtoisie… c‘est bien CHOCOLATINE qu’il faut demander !!

 

 

 

 

Une institutrice essaie d’enseigner les bonnes manières à ses élèves :

Michel, si tu étais en train de faire la cour à une jeune fille de bonne famille, très bien éduquée, pendant un dîner en tête à tête et que tu avais besoin d’aller aux toilettes, que dirais-tu ?
Attends-moi une seconde, je vais pisser un coup.
Ça serait très grossier et très malpoli de ta part.
Et toi, Jean, que dirais-tu ?
Je m’excuse : il faut que j’aille aux toilettes, mais je reviens tout de suite.
C’est déjà mieux, mais c’est désagréable de mentionner les toilettes pendant le repas.
Et toi Toto, tu serais capable d’utiliser ton intelligence, pour une fois, et de démontrer tes bonnes manières ?
Oui, Madame, je dirais :
« Ma chère, je vous demande pardon de m’absenter un moment. Je m’en vais de ce pas tendre la main à un ami intime que j’espère pouvoir vous présenter après le dîner 

 

 

 

 

Il va y avoir un problème …

 

 

Et la bonne vidéo pour terminer lecteur.

 

 

 

 

Gene