Et oui un peu pressée ce matin la Gene car elle doit partir à sa dernière journée cartonnage de l’année avec Marie-Françoise. Rendez-vous avec les copines à 9 h 30 à notre salle habituelle à Pexiora. Donc on va faire fissa fissa lecteur pour que tu ais tes moments d’humour tout de même.
Un peu coquine …
Une jeune nonne va se confesser à l’aumônier du couvent :
– Mon père, c’est épouvantable ! Ce matin je travaillais dans le potager, un homme a surgi, il m’a renversée dans les salades… Euh ! et il a fait sa petite affaire, et Dieu sait que je n’étais pas consentante !
– Vous allez boire une demi-bouteille de vinaigre.
– Et ça absoudra le péché ?
– Non ! Mais ça fera disparaître votre sourire béat …
Une histoire de couple encore …
Un homme emmène sa maîtresse dans un hôtel. Dans le parking de l’hôtel, il voit la voiture de son beau-père garée et il dit :
Le vieux salaud ! Lui qui fait tout le temps la morale à tout le monde.
Je ne vais pas le louper aujourd’hui.
Il s’approche de la voiture tout doucement et vole l’autoradio.
Le soir, il va rendre visite à son beau-père curieux de connaître sa version des faits et il trouve le vieux très en colère.
Il lui demande : Qu’est-ce qui te met dans une telle humeur ?
Le beau-père répond :
“J’ai prêté ma voiture à ta femme pour aller à l’église et on lui a volé l’autoradio pendant la messe !!!”
J’adore ce genre de définition avec des jeux de mots, trouvés chez Dom.
Syntaxe : Fête des impôts
***
Fêtard : Il faut rentrer se coucher
***
Mercato : Maman pratiquante
***
Sismique : Salaire élevé car correspondant à six fois le salaire minimum en France
***
La moustache : Le ketchup aussi
***
Patois Nîmois : Mais c’est qui alors ?
***
.
.
Au moins ne pas oublier les blondes …
.
.
Déjà publiée il me semble, mais toujours aussi marrante.
Institutrice, un métier difficile!
20 secondes pour rire
C’est l’histoire vraie d’une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde.
Un des gamins, pour aller en récréation, lui demande de l’aide pour mettre ses bottes.
Et en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
“Elles sont à l’envers, maîtresse”.
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s’aperçoit qu’en effet il y a eu inversion des pieds…
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu’à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
“C’est pas mes bottes”.
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l’a pas dit avant ……
Comme le gamin voit bien qu’il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
“Bon, allez, on les enlève”
Et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
“C’est pas mes bottes, c’est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre !!
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
L’opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d’avoir réussi à garder son sang froid
Pour aller jusqu’au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
“Où sont tes gants”?
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
“Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes” !
.
.
.
.
Et voila, nous terminerons avec ce petit billet
à distribuer un peut partout lecteur
autour de toi.
.
.
.
.
.
Gene
.
.