Ben oui lecteur, il semble que les derniers beaux jours sont derrière nous et que l’automne va bientôt se transformer en hiver …. Normal me diras-tu mais dommage quand même.
Laissons les parapluies de côté et revenons à nos petites histoires habituelles pour éclairer notre début de Week-End.
Pensée profonde ….
“Une femme peut fort bien porter une robe de bal sans savoir danser, une robe de cocktail sans avoir soif, un maillot de bain sans savoir nager, mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s’en servir.”
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Et logique enfantine ….
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Déjà parue mais j’aime ….
Allo, chéri, tu es au hammam ?
– Oui, ma chérie.
– Chéri, tu ne vas pas me croire, je suis devant un magasin de fourrures. Chéri, ils ont un vison ! Magnifique, de toute beauté, à un prix. Incroyable !
– Combien le vison, ma chérie ?
– Donné, mon amour, donné. 7000 Euros. Tu te rends compte ?
– Mais tu en as déjà des manteaux ma chérie !
– S’il te plaît, chéri, il est vraiment… Superbe !
– OK, OK. Vas-y, achète-le, ton vison !
– Oh, merci mon amour, dis, je ne veux pas t’embêter, mais tu sais, en passant devant le concessionnaire Mercedes tout à l’heure, j’ai vu leur dernier coupé. Il est beau ! Magnifique. En plus, j’ai parlé au vendeur, celui en exposition est tout neuf, intérieur cuir, peinture dorée… Je ne veux pas abuser de ta gentillesse, mais qu’en penses-tu ?
– Chérie, tu exagères, on a déjà des voitures !
– Tu m’avais promis un jour qu’on aurait un coupé !
– Combien, la voiture, ma chérie ?
– Tu ne vas pas me croire, mon chéri, ils nous la laissent à seulement 100 000 Euros, avec toutes les options !
– Bon, OK, OK, on a de l’argent, vas-y… Prend-la ta voiture !
– Mon amour, je t’aime, c’est merveilleux la vie avec toi ! Dis, j’abuse, mais tu te souviens de notre petit voyage sur la côte d’azur ? Tu te rappelles la maison des Cohen avec la piscine, le tennis ? Tu sais qu’elle est en vente ? Je l’ai vue en passant devant l’agence ! Et si on l’achetait pour avoir un pied-à-terre dans le sud ?
– J’y avais pensé déjà, oui ! Tu me dis qu’elle est en vente ?
– C’est vrai, chéri, tu y as pensé ? Je peux vraiment aller à l’agence ? Tu sais, elle n’est vraiment pas très chère, et quelle classe !
– Combien elle vaut ?
– Ils l’ont affichée à 4,2 millions, mon amour !
– Bon, tu y vas, de toute façon, j’ai de l’argent, autant le dépenser. Mais pas plus de 4 millions !
– Mon amour, c’est le plus beau jour de ma vie ! Tu es merveilleux, je t’aime, vivement ce soir !
– À ce soir, ma chérie.
Le gars raccroche, lève la main et crie :
– Il est à qui ce portable ?
Remarque sur le temps qui passe …
Non non elle est pas politique celle-là ….
Au lycée, en cours d’histoire, le professeur pose une question qui va se révéler lourde de conséquences
– Qui a cassé le vase de Soissons ?
– C’est pas moi, m’sieur !
– C’est pas moi non plus !
– Ni moi !
Et toute la classe nie avoir cassé le vase, ce qui finit d’anéantir le pauvre prof !!
Le soir même, après les cours, il va raconter au directeur ce qui s’est passé dans sa classe.
Le directeur dit :
– C’est trop grave, il faut prévenir l’inspecteur d’Académie !
L’inspecteur vient le lendemain et après s’être fait relater les faits, dit :
– Ça va trop loin, il faut en aviser le ministère !
Et les voilà, tous les trois, le lendemain à Paris au ministère de l’Éducation nationale.
Ils racontent ce qui s’est passé à la ministre du moment, qui les écoute avec attention.
Après un moment de réflexion, elle va fouiller dans son sac à main et en sort deux billets de 50 euros qu’elle tend au professeur en lui disant :
– Prenez cet argent, vous rachetez un autre vase, vous le mettez à la place de l’autre, vous ne dites rien à personne et on étouffe l’affaire ! Pas de scandale en période électorale, surtout pas !
Quand je te disais lecteur que le temps se refroidissait …
Encore les femmes pour terminer et leur logique implacable ….
Dans un compartiment de chemin de fer où se trouve déjà un monsieur seul, deux ravissantes jeunes femmes s’installent.
Peu après le départ du train, l’une dit :
– Tu sais, ma chérie, j’ai tellement de frais, je n’y arrive plus ! Je ne sais pas comment je vais m’en sortir…
– Fais comme moi, dit l’autre. Prends un amant qui te donnera quatre mille euros par mois.
– Mais je ne connais aucun homme qui ait les moyens de le faire !
– Alors, prends-en deux qui te donneront deux mille euros chacun !
– Même deux mille euros, je ne vois pas…
– Alors prends-en quatre qui te donnent mille euros chacun !
A ce moment-là le monsieur lève la tête de son journal :
– Dites-moi, quand vous en serez à cent euros, je suis d’accord pour faire partie des quarante types…
Nous finirons en musique aujourd’hui lecteur.
De la beauté pour lutter contre la grisaille, y a pas mieux.