Samedaille toujours

 

 

Allez lecteur, c’est parti encore aujourd’hui pour notre moment d’humour. J’ai rechargé mes stocks ces derniers temps pour pouvoir ouvrir cette page aujourd’hui.

 

 

 

IKEA

Une dame a acheté une armoire chez Ikea et a décidé de la monter toute seule, sans attendre son mari.

Elle regarde bien le plan et se met à l’ouvrage. Voilà, c’est fait. Mais en bas, dans la rue, un autobus pas. Le sol vibre, et l’armoire se met à trembler, trembler et patatras, la voilà par terre.

La dame ne s’avoue pas vaincue. Elle reprend le montage, en suivant bien les étapes une après l’autre, elle ajoute même un point de colle ici et là… Voilà, c’est terminé. Mais l’autobus qui fait la navette est revenu, et de nouveau le sol vibre, l’armoire tremble, tremble et plaf, elle s’effondre.
« Mais c’est pas vrai, il y a comme un défaut », se dit la dame, et elle appelle le service après-vente Ikea. On lui envoie aussitôt un technicien. En arrivant, celui-ci dépose sa sacoche, laisse son mégot dans le cendrier et déclare :

– Bien, voyons ça, je vais refaire le montage et nous verrons ce qui se passe. Il assemble normalement et, en un quart d’heure, l’affaire est réglée.

– Hé bien, elle est très bien cette armoire, où est le problème ?

– Attendez un peu que le bus passe, et vous verrez…

Le bus passe effectivement, et le sol vibre, l’armoire tremble, tremble et badaboum, elle tombe en miettes.

« Ah ça mais, que le grand cric me croque, j’aurai le dernier mot ! » dit le technicien, et il recommence le montage, mais avec de la colle super forte, des vis supplémentaires, de grands coups de marteau… Là, c’est fait.

Et le bus qui continue son service passe dans la rue, et le sol vibre, l’armoire tremble, tremble, tremble et vlan, elle se retrouve en mille morceaux.
Le technicien se fâche : ‘Caramba, j’en aurai le cœur net. Je vais tout remonter normalement, et je vais me mettre à l’intérieur pour voir ce qui se passe quand ça vibre’.
Et c’est à ce moment là que le mari de la dame rentre du travail. Je dois préciser qu’il est très jaloux. Tout de suite, il voit la sacoche, le mégot, et apostrophe sa femme :

» À qui est cette sacoche ? et ce cigare ? Tiens, et cette armoire, c’est nouveau ! Il y a un homme là-dedans, je le sais ! ». Et il ouvre l’armoire.
– Alors, qu’est-ce que vous foutez là, vous ?
– Ben, vous n’allez pas me croire, mais j’attends l’autobus…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vieille canaille
Un jour, ma femme m’appelle furieuse sur mon Iphone :

« Alors, vieux soûlard, où es tu encore ? »
Je lui réponds calmement :
« Te souviens-tu de cette bijouterie où, il y a très longtemps, tu
avais repéré une superbe bague sertie de diamants. Tu en étais tombée amoureuse
 et je t’avais dit : « Un jour elle sera à toi ». »
A cette époque je n’avais pas assez d’argent pour te l’offrir.
Ma femme émue, presque en sanglotant me dit :

« Oh oui, mon amour, je me souviens.
 – Eh bien, je suis dans le bistrot, juste à côté !!!!  

 

 

 

Je crois qu’il est temps d’aller te chercher une bonne vidéo pour terminer lecteur.

 

 

 


Gene

Un ouvrage en cours chez Aiguilles et Bobines Occitanes

 

Aujourd’hui nous allons parler patchwork au club lecteur.

Les bobinettes qui avaient déjà sévi pour coudre leurs beaux tabliers vus au salon, ont craqué ce jour là sur un ouvrage à faire chez Les Petits Points de Patricia Linder.

Il s’agit d’un cartable.

Ces dames auraient-elles l’intention de revenir à l’école ? Prépareraient elles la rentrée à l’avance ?

Mais non lecteur, elles travaillent pour le plaisir, sur un ouvrage qui sera très pratique pour transporter leurs petits matériels quand elles viennent au club ou qu’elles se déplacent.

Je t’en ai fait quelques photos qui te montrent les principales étapes de leur travail, photos prises au club la semaine dernière.

 

Tout d’abord, il faut commencer par découper des carrés tous exactement à la bonne mesure, les assembler, les quilter sur un molleton nuage, y apposer sur l’envers une jolie doublure, retourner le tout et insérer difficilement un morceau de Jeffitex à la bonne mesure.

Et je peux t’assurer lecteur que ne n’est pas la partie la plus aisée.

On obtient ceci :

 

 

Il faut aussi découper ce qui seront les côtés du cartable et ensuite même travail que précédemment.

 

 

 

On continue lorsque ces pièces sont terminées par les assembler, ce qui là aussi n’est pas une mince affaire. Il y a eu du Pénélopage dans l’air pour tout ajuster à la bonne mesure ainsi qu’un peu  d’énervement à certains moments ….
On travaille sur l’envers à petits points glissés mais avec du fil solide m’ont elles expliqué.

 

 

 

 

 

 

Quand le montage est fini, retourner l’ouvrage et on obtient ceci.

 

 

 

Et quand on s’appelle Marie-Hélène, on devance tout le monde en ayant terminé son cartable la première !

Le voici avec son anse  et ces clips pour le fermer.

C’est chouette hein lecteur ?

 

 

Evelyne aurait aussi fini le sien, mais je n’ai pas de photo.

Il ne reste plus qu’à Marlène, Andrée, Fanchon  et Marie-Françoise à terminer le leur pour que je te les montre aussi.

 

Pour finir cette page voici des photos d’un de nos derniers repas dans notre “cuisine”, c’est l’auberge espagnole avec chacune son repas puisque nous faisons journée continue le mardi.

 

 

 

 

 

Convivialité, gaité et partage, sans oublier la gourmandise (il y a bien souvent un ou plusieurs gâteaux à partager en dessert), voilà encore une journée bien agréable qui nous fait avoir hâte de revenir mardi prochain.

 

C’était une

 

Gene