Archive for Humour

Un Samedaille différent

 

gif couture

 

 

Un peu occupée cette fin de semaine, je n’ai pas eu le temps pour un nouveau Samedaille.

Mais L’Atelier de JOJO  a posté un bien joli texte aujourd’hui, qui nous parlera d’autant plus à nous qui tirons l’aiguille et qui avons bien souvent des cheveux blancs !!!

Après tout nous approchon de Noël, et ce genre de texte positif ne peut que nous faire du bien.

 

Je m’appelle Denise. J’ai 82 ans. Je vis dans un appartement bien rangé avec un panier à couture plus vieux que celui de mon premier petit-enfant. La plupart du temps, je raccommode des choses : des boutons, des ourlets, le col effiloché de la chemise en flanelle de mon défunt mari. Mais un mardi pluvieux, j’ai remarqué quelque chose dans la buanderie de mon immeuble : une jeune mère, peut-être 25 ans, assise par terre, les larmes aux yeux, tenant une minuscule chaussette déchirée. La seule chaussette propre de son enfant.
« Elle est fichue », a-t-elle murmuré.
« Je n’ai pas les moyens d’en acheter une neuve. »
Je n’ai pas dit un mot. J’ai pris la chaussette, lui ai tapoté l’épaule et suis rentrée. Ce soir-là, je n’ai pas juste réparé le trou. J’ai cousu un petit oiseau bleu sur la déchirure, comme un petit gardien. Le lendemain matin, je l’ai laissée dans sa boîte aux lettres avec un mot :
« Pour les petits pieds.  Continuez votre chemin.”
Je ne m’attendais pas à ce qu’elle le remarque. Mais la semaine suivante, j’ai trouvé un mot glissé sous ma porte :
« Merci. Mon fils l’appelle sa “chaussette oiseau magique”. Il ne veut plus l’enlever. »
Alors j’ai continué à raccommoder. Pas seulement des chaussettes, des pulls usés, des sacs à dos déchirés, même un simple gant laissé sur un banc. Je les laissais pliés soigneusement dans la buanderie de l’immeuble (pas une laverie publique, juste notre espace commun), avec un petit symbole brodé, un cœur, un soleil, une fleur. Juste le truc raccommodé et un petit mot plié :
« C’était cassé. Maintenant, c’est solide. »
Puis, quelque chose d’incroyable s’est produit.
Un adolescent a commencé à laisser des chaussettes neuves pour la buanderie. Un étudiant a laissé un pot de boutons. Le mois dernier, j’ai trouvé une écharpe tricotée main avec un mot :
« Tu as raccommodé le manteau de ma mère. Elle est malade.   Tu peux réparer ça pour elle ? »
Je l’ai fait et j’ai ajouté un motif de flocon de neige.
Il y a deux jours, je suis entrée dans la buanderie et je me suis figée. L’espace était transformé. Des étagères abritaient des paniers remplis d’objets intacts : écharpes, chapeaux, et même un camion jouet avec une roue neuve. Et sur chaque objet ? Un minuscule symbole brodé, exactement comme le mien. Quelqu’un avait appris mon langage secret.
J’ai enfin rencontré la « réparatrice » hier. Pas une voisine. Une jeune fille de 19 ans nommée Lila, qui avait emménagé six mois auparavant. Elle m’avait vue laisser une chaussette raccommodée, m’avait suivie jusque chez moi et m’avait observée de loin.
« Avant, je volais », a-t-elle admis, la voix tremblante.
« Puis je t’ai vue réparer ce qui était cassé, sans rien demander. »
Elle avait été en maison de correction. Maintenant, elle apprenait à coudre à partir d’un livre de la bibliothèque.
« Tu m’as montré que la gentillesse n’est pas une faiblesse, a-t-elle dit. C’est la chose la plus forte qui soit. »
Ce matin, j’ai trouvé un nouveau mot dans mon panier :
« Denise,  Tu as réparé ma vie quand j’étais déchirée. Maintenant, je répare les choses aussi. Merci pour les oiseaux.”
La lettre était signée d’un petit oiseau bleu tordu.
Le monde n’est pas brisé. Il attend juste que quelqu’un prenne l’aiguille.
On n’a pas besoin de grands gestes pour guérir ce qui est déchiré. Parfois, le plus petit point de gentillesse maintient tout en place. Commencez là où vous êtes. Réparez ce que vous pouvez. Le reste suivra.

Que cette histoire touche plus de cœurs…
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Gene

Un Samedaille de dimanche

 

 

 

 

Enfin, tu peux revenir sur le blog sans problème lecteur, il semblerait que Fiston ait pris du temps pour venir résoudre ce bug qui t’empéchait d’ouvrir les articles.

Voici donc ton Samedaille avec du retard mais toujours bien chargé de son humour habituel.

 

 

Un homme particulièrement macho se marie.

Le lendemain il dit à sa jeune épouse :
– Ma chérie, à partir de maintenant, il y a un certain nombre de règles qu’il va falloir respecter dans cette maison. Primo, je rentrerai à l’heure qui me plaît, et je te prierai de ne faire aucune réflexion. Je veux, quand j’arrive, que le couvert soit mis et le repas prêt. Et si je vais au foot, au bistrot ou faire un poker, je ne tolérerai aucune remarque. C’est compris ?
– C’est compris. Par contre, moi je n’ai qu’une seule règle à t’annoncer : je fais l’amour tous les soirs à vingt heures, que tu sois rentré ou non…

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Deux cow-boys qui convoyaient du bétail dans les plaines de l’Ouest distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol.
Ils se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.

Les cow-boys s’arrêtent et le premier dit au second :
– Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve.

A ce moment là, l’Indien tourne la tête et dit :
– Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
– Incroyable ! s’exclament en cœur les cow-boys. Cet Indien est tout bonnement incroyable. C’est époustouflant ! Comment arrive-t-il à connaitre autant de détails ???

Alors l’Indien tourne à nouveau la tête et fait :
– Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure…
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Une lady dit à son époux :
– Darling, Jeremy va avoir seize ans. Il faut l’informer des mystères de la vie, c’est à vous de le faire. Mais c’est un enfant sensible.
Alors parlez-lui des abeilles, des pigeons, des chevaux…
– Entendu, my dear.
Et le duc va voir son fils :
– Jeremy, vous vous souvenez de ce que nous avons fait à Londres la semaine dernière avec ces deux charmantes personnes ?
Eh bien, votre mère vous fait dire que pour les abeilles, les pigeons et les chevaux, c’est pareil.
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Après cette réflexion particulièrement vraie et utile, nous  terminons avec une petite vidéo lecteur comme pour tous nos Samedailles.
Il faut savoir se moquer un peu de nous les femmes  😆
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Gene