Un Samedaille de retour

 

 

 

Les tournesols ont fané chez nous, les machines seront bientôt dans les champs pour les récolter.
Les vendanges ont débuté et les enfants ont repris le chemin de leurs classes.

C’est un changement de saison, il accompagne mon retour sur le blog enfin. Non je ne t’ai pas oublié lecteur, mais les activités de l’été ont été intenses et je n’ai que peu touché mes aiguilles.

Cela a plutôt été arrosages des fleurs, récoltes des légumes du jardin et conserves en suivant. Et puis surtout les enfants et petits enfants qui nous ont fait la joie de passer quelques semaines de vacances à la maison. Après leur départ je dois t’avouer que j’ai beaucoup bouquiné et flemmardé sans trop d’envie de me remettre devant mon écran.

Mais me revoici pour reprendre nos rencontre en commençant là où j’avais arrêté : un Samedaille. Les stocks se sont regonflés et je vais pouvoir relancer la machine sans problème.

C’est parti.

Pour soutenir nos viticulteurs des Corbières si durement touchés par cet énorme incendie de l’été. (Avec modération bien sûr)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un jeune mari rentre chez lui.
Sa femme lui saute au coup en disant :

– Chéri, j’ai une grande nouvelle : je suis en retard d’un mois. Je crois que nous allons avoir un bébé ! J’ai fait un test de grossesse chez le médecin et nous aurons le résultat d’ici un jour ou deux. Tant que nous n’aurons pas le résultat, on n’en parle à personne.

Le lendemain, un conseiller clientèle d’EDF téléphone chez eux au sujet d’une facture impayée :

– Vous êtes bien Mme Dupont ?
– Oui.
– Madame, vous avez un mois de retard.
– Mais… Comment le savez vous ?
– Nous avons des ordinateurs, c’est inscrit dans notre base de données.
– Que dites-vous ?! C’est inscrit dans vos ordinateurs ?!
– Absolument !

Le soir, elle raconte cette conversation à son mari qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain au siège de la compagnie d’électricité.

– Qu’est-ce que c’est que cette histoire, vous inscrivez dans votre base de données que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mêlez-vous ?
– Ecoutez, dit le conseiller clientèle. Calmez-vous, ce n’est pas bien grave. Vous n’avez qu’à l’acquitter.
– La quitter ? Il n’en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant, ni plus tard !
– Dans ce cas, je vous préviens que si vous refusez de l’acquitter, on va devoir vous la couper.
– Quoi ?! Me la couper ?! Mais vous êtes fou ! Et que deviendra ma femme ?
– Je ne sais pas… elle n’aura qu’à se servir d’une bougie !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est l’histoire d’un Allemand qui visite la France et qui s’arrête à côté de deux types qui attendent le bus avenue Foch à Paris. Il leur demande :
– Entschuldigung, bitte, sprechen Sie Deutsch ?

Les deux Français le regardent en silence .

L’Allemand :
– Spreekt u misschien Nederlands ?

Les deux Français ne bougent pas…

L’Allemand essaye alors :
– Sorry, do you speak English ?

Nos deux Français continuent à le regarder .

L’Allemand :
– Parlare Italiano ?

Pas de réponse .

L’Allemand :
– Habla ustedes Español ?

Toujours rien. Dégouté, notre Allemand hoche la tête et s’en va.

Le premier Français se retourne vers son ami et lui dit :
– Tu ne crois pas qu’on devrait apprendre quand même une langue étrangère ?

L’autre Français lui répond :
– Pourquoi ? Ce touriste en connaissait cinq et ça ne lui a servi à rien !

 

 

Le tube du manutentionnaire.

Tôt dans la matinée, alors qu’il déchargeait un camion de carcasses de bovins, un manutentionnaire du marché de Rungis se trouve soudain « planté » avec un mal de dos carabiné. Il passe chez le médecin le matin même.
Le généraliste lui dit :
– Vu les douleurs que vous ressentez, il y a de fortes chances que vous ayez une hernie discale.
– Qu’est-ce que c’est que ça ? Demande l’homme fort des halles.
– Eh bien, dans le dos, vous avez un disque qui est en train de sortir !
– Ah oui ? S’étonne le gars.
– Oui. Et d’ailleurs, il vous faut tout de suite arrêter votre métier, au moins provisoirement, et je vous prends un rendez-vous pour une radio dès demain !
Le soir même, le manutentionnaire appelle son patron au téléphone :
– Patron, j’arrête de travailler !
– Ben qu’est-ce qui se passe Maurice, t’as trouvé du boulot ailleurs ?
– C’est encore mieux que ça, patron : je vais me lancer dans le show-business ; le docteur a dit que mon disque sortait et que je passerai à la radio dès demain !

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Et pour finir utile. Vu chez Jojo.

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Nous ne changeons pas nos habitudes avec cette rentrée, une petite vidéo pour clôturer ce moment de détente et de bonne humeur.

 Gardons espoir dans la nature.

 

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Gene

12 comments

  1. Pati66 dit :

    Bonjour Gene. Heureuse de te retrouver ainsi que ton blog. Bon week-end.

  2. niro dit :

    magnifique vidéo… merci de nous distraire !

  3. pecelette32 dit :

    Contente de te retrouver, merci pour la reprise des blagues, bon w.e Gene, bisous.

  4. Yakéné dit :

    Merci, tu nous as gâté pour cette rentrée. Bonne fin de semaine.
    Amicalement

  5. vava dit :

    merci pour ton samedaille, on est toutes de rentrée en ce moment
    Bon week-end
    Vava

  6. Katell Renon dit :

    Mais quelle vidéo !!!
    Des sourires de bout en bout, que ça fait du bien ! Merci Gene et bonne rentrée

  7. cath dit :

    Très bon humour et vidéo extra ! merci et bon week end.
    Bisous

  8. midolu dit :

    Bonjour ! Merci pour les sourires, les blagues et quiproquos, et les astuces …
    Bonne fin de semaine.

  9. Andrée Huillet dit :

    Merci Gene pour ce florilège de blagues. J’ai adoré la vidéo très poétique la nature est si belle et si surprenante. Bon week-end bises

  10. marie-claire dit :

    La nature trouvera toujours son chemin ! Nous , par contre !!!

  11. Marie+Louise dit :

    Merci, la vidéo est magnifique, bonne reprise à tout le monde…

  12. F@bienne dit :

    Bonne rentrée en sourires!! Amitiés à toutes. Biz

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