
La température fraîchit lecteur, l’automne nous force à sortir quelques épaisseurs de plus pour nous tenir chaud à l’inverse des arbres qui se déshabillent petit à petit.
Je n’ai pas d’histoire de saison lecteur mais nous allons bien trouver quelque chose pour alimenter cette chronique aujourd’hui encore n’est-ce pas ?
Débutons avec les Zozios.

Chez le notaire
Un délice, la langue française !
Que c’est beau … toutes les subtilités et les richesses de la langue française !
Ne dit-on pas que cette langue est très difficile à apprendre ?
En voici un exemple : Une vieille demoiselle se présente chez un notaire pour enregistrer l’acte d’achat de sa maison récemment acquise.
Le notaire l’invite à s’installer, appelle son clerc et lui demande textuellement : “Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de mademoiselle, examinez son affaire, et si les règles ne s’y opposent pas, faites une décharge pour qu’elle entre en jouissance immédiate !”
On n’a toujours pas rattrapé la vieille fille !
Pour moi, elle n’aurait pas dû fuir : elle aurait dû essayer de tirer les choses au clerc…
Ah jeux de mots encore.

Ah ces Belges !
Un Américain, un Japonais et un Belge sont assis,nus, dans un sauna.
Soudain, le bruit d’un “bip” se fait entendre. L’Américain appuie sur son avant-bras avec son index et le “bip” s’arrête. Le Belge le regarde époustouflé. L’Américain lui dit :
“Je vous prie de m’excuser, c’était mon pager, j’ai la puce implantée sous la peau de l’avant bras.”
Quelques secondes plus tard, le Belge entend une sonnerie de téléphone. Le Japonais met la paume de sa main contre son oreille et, quand il a fini de parler, explique au Belge complètement suffoqué
“Désolé, c’était mon portable, j’ai la puce implantée dans la main.”
Le Belge se sent vraiment ignorant aux yeux des deux autres. Il se lève, va aux toilettes et retourne au sauna avec du papier toilette qui pend aux fesses. Les deux autres le regardent en s’interrogeant. Et le Belge leur dit :
“Mince alors, j’ai encore reçu un fax !!!
Ah la mode ! Universelle, mais pas au même prix partout ….

Ah les enfants !
CHARLES HENRY, rentre de l’école, il arrive à la villa, et c’est l’heure du thé.
Ces dames sont au salon, il salue
Bonjour Mère,
Bonjour Mère- Grand,
Bonjour Madame la Comtesse,
Bonjour Madame la Baronne,
Il salue l’épouse du Pasteur, du Pharmacien, du Maire…
D’où arrivez-vous CHARLES HENRY ?
– De l’école, mais en rentrant je passe toujours par le port, il y a beaucoup de choses à voir…
– Et qu’avez-vous vu d’ intéressant aujourd’hui ?
– Un cargo qui embarquait des putes pour TANGER…
– Toutes ces dames sont horrifiées, et se lèvent !
Alors CHARLES HENRY répond à ces dames.
– Je vous en prie Mesdames restez assises, le bateau ne part que demain…
Ah les enfants bis !
Et pour finir


