La passion au bout des doigts, le NOUVEAU blog !!!

       En attendant ta recette du mercredi habituelle maintenant mon cher lecteur gastronome, voici de la belle ouvrage pour t’inspirer, à la couverture déjà attractive et aux critiques louangeuses, dixit la presse spécialisée. Admire donc.

       Je te redonne in extenso le texte comme je l’ai trouvé sur le site Rhum  Clément :

Produits :
Oeuf
Lu par Philippe Toinard

Si Thierry Barot est un chocolat maniaque, Lyndsay et Patrick Mikanowski le sont tout autant mais à propos de l’oeuf.
Après avoir signé « Tomate » aux Editions du Chêne, « Patate » et « Les Légumes de Joël » chez Flammarion, ils reviennent sur le devant de la scène littéraire avec cet ouvrage entièrement consacré à l’oeuf de poule. Ils ont demandé à 40 chefs fêlés, Jean-Marie Baudic, Ferrand Adrià, Roland Durand, Alain Passard, Flora Mikula, Jacques Décoret ou Anne-Sophie Pic…de se pencher sur cet ingrédient fondamental au même titre que le sont le sel, le poivre ou l’huile.
Après quelques pages consacrées aux mythologies et croyances, à la place de l’oeuf dans la science gastronomique racontée par notre confrère Hervé This, on entre dans le vif du sujet avec des recettes toujours accompagnées de proverbes comme « celui qui mange des oeufs ne sait pas si la poule a mal au derrière » ou encore « l’amour est un oeuf frais, le mariage est un oeuf dur et le divorce, un oeuf brouillé ». Cuit, cru, frit, brouillé, mollet, soufflé, glacé, sucré, salé, l’oeuf est mis en scène par les plus prestigieux ou inventifs chefs de la planète, le tout superbement illustré par les photographies de Grant Symon.

Pour la bonne bouche, quelques recettes ; « oeufs coques sans coque, écrevisse, girolles et amandes » de Jean-François Piège, « duo d’oeufs cocotte, céleri truffe » d’Eric Briffard, « roulades d’oeufs au caviar » de Wylie Dufresne ou « spaghettis à l’oeuf, à l’ail, à l’huile et au piment » de Carlo Cracco.

Flammarion. Prix : 45 €.

       Très cher lecteur de ce blog, je t’informe qu’aujourd’hui, je suis encombrée d’un très vilain rhume, que m’a aimablement fait partager mon charmant époux,  Nez bouché et qui coule constamment ( je vais acheter des actions chez Kleenex ) , éternuements, gorge enflammée ……. la totale.
En conséquence, mon unique neurone habituellement actif, s’est mis en veilleuse et ma page du jour sera en rapport avec mon état physique général : bof .

       Mais comme je ne veux pas te décevoir totalement, voici une petite recette d’actualité que je vais sûrement mettre à profit ce soir avant d’aller me coucher. C’était mon papa qui en faisait usage lors de ses passages rhumesques en hiver, en complément d’un bon rinçage de sinus à l’eau salée …… (ça, je sais pas si je vais faire)

       Je t’offre donc une de mes petites madeleines (de Proust) qui va me ramener quelques années en arrière.

1/ Battez 1 jaune d’oeuf avec les graines d’une gousse de vanille et avec 1 cuillère à soupe de sucre.

2/ Fouettez le tout avec 1/4 de litre de lait bouillant.

3/ Ajoutez un trait de rhum dans le liquide bouillant, et buvez chaud.

        Je sais lecteur, on n’est pas mercredi pour la recette, mais celle là ne concerne pas les enfants, et tu auras ta recette habituelle au jour dit, ne te fais pas de souci. Je suis trop gourmande pour te l’oublier et je sais déjà ce que je vais te faire déguster

       Mais avant de te laisser je ne résiste pas à te faire partager une autre recette paternelle, et pour les enfants cette fois ci :

      L’hiver lorsque la cheminée flambait  (et sans trop fumer pour une fois ) nous chauffions un bol de lait et pendant ce temps, papa mettait les pinces de la cheminée dans les braises jusqu’à les avoir rouges. Puis il pinçait un sucre entre, et le faisait fondre au dessus du lait. Le sucre était caramélisé par la chaleur des pinces et donnait un goût inimitable au lait.
(Tu peux faire la même chose sans cheminée, en chauffant tes pinces au dessus du gaz )

Souvenir, souvenir …….