Archive for gene11

Crème de marrons à ma façon

 

 

 

 

 

Tu dois penser lecteur que je t’ai complètement abandonné.

Que nenni !

Les vacances sont terminées et je fut très occupée par les enfants et petits enfants venus passer quelques jours chez nous.

Ce fut un grand bonheur mais aussi beaucoup d’occupations dont 2 fournées de crème de marrons avec mon fils (châtaignes généreusement ramenées de Normandie pour partager l’activité avec sa maman chérie, 4 bras c’est bien mieux que 2 n’est-ce pas ?  !!!) et une fournée de pâtés de porc avec ma fille quelques jours après. Les provisions pour l’hiver commencent à bien remplir les étagères ….

Au sujet de la crème de marrons, nous avons bien peiné pour  enlever les peaux, en essayant plusieurs techniques. Aucune ne nous avait vraiment satisfait et heureusement que nous étions 2 pour arriver à bout de la corvée épluchage.

Après des recherches sur internet, j’ai fini par trouver une méthode qui m’a intéressé.
J’ai acheté au marché lundi 1 kg de châtaignes pour faire un essais. Et ….

Et  ce fut concluant !!!

Je te partage donc cette façon de faire qui peut être te facilitera la vie si comme moi tu es une adepte indécrottable de la crème de marrons.

 

Crème de marrons à ma façon

 

 

Photo internet

 

Ingrédients :

Pour 1 kg de châtaignes cuites

750 g de sucre

1 gousse de vanille

1 grand verre d’eau (20 cl)

 

Fendre largement les châtaignes  et les mettre à congeler, la veille pour le lendemain (ou plus tard)

Mettre une grande quantité d’eau à bouillir dans un faitout qui pourra recevoir tous les marrons. Quand l’eau bout, y verser les châtaignes congelées et cuire une dizaine de minutes à partir du moment où l’eau aura repris le bouillon.

Faire un essais sur 1 fruit pour voir comment il peut s’éplucher et arrêter la cuisson si le temps est bon.

Sortir les marrons de l’eau (attention, c’est chaud) et les éplucher au fur et à mesure.

Passer ensuite les marrons au Thermomix doucement au début puis monter jusqu’à 7 pour obtenir une pâte fine.

( Si tu n’as pas de machine de ce style lecteur, le bon vieux moulin à légumes grille fine fera l’affaire, j’espère seulement que tu de bons petits  bras musclés. )

Verser la pâte obtenue dans un grand contenant pour la cuire. Y ajouter le sucre, la vanille et l’eau.

Mettre à chauffer doucement en remuant pour bien amalgamer le tout et fondre le sucre. Attention, la crème projette des éclaboussures rapidement, prévoir une cuillère à long manche et un gant pour se protéger.

Cuire 1/4 d’heure à 20 mn sans cesser de remuer pour que la crème n’attache pas.
Passer un petit coup de mixer plongeant pour affiner les quelques grumeaux qui pourraient rester puis comme pour toutes les confitures, la verser chaude dans des pots bien propres, visser le couvercle et retourner tout de suite pour stériliser la crème en faisant le vide.

C’est tout.
Un conseil de la gourmande :  garder un peu de crème à refroidir dans une coupelle, et se régaler ensuite :-))

 

1 kg de châtaignes brutes m’a donné 850 g de purée après avoir sorti les peaux et les marrons noircis ou habités.
J’ai obtenu 4 pots style Bonne Maman.

Je n’avais plus de vanille en gousse, j’ai utilisé de la vanille en  grains vendue en petite bouteille. 2 cuillères à café rases ont bien fait l’affaire.

A toi d’essayer maintenant lecteur pour me dire si cette façon de faire a comblé tes attentes et si la crème obtenue est à la hauteur de ta gourmandise.

 

 

 

Gene

 

Un Samedaille bien humide

 

 

 

Cette célèbre chanson a été plus que d’actualité cette semaine malheureusement pour une bonne partie de notre pays.

Notre région a échappé aux inondations et va récolter une pluie bénéfique pour nos sols et recharger les réserves. Nous avons été chanceux.

 

Pour changer de ce temps morose, je te propose lecteur ton Samedaille habituel, qu’il mette un peu de soleil dans notre fin de semaine.

 

 

 

 

Un inspecteur de police fait passer un test à trois blondes en vue de devenir policière dans son équipe.

Il regarde la première blonde et lui montre une photo.

– C’est un suspect, regarde bien sa photo pendant 30 secondes et dis-moi comment tu le reconnaîtrais dans la rue ?

La blonde répond :

– Facile, il n’a qu’une oreille.

Le visage de l’inspecteur se défait :

– Normal qu’il n’ait qu’une oreille, la photo est de profil.

Il se tourne maintenant vers la deuxième blonde et lui montre la même photo et lui pose la même question.

Réponse :

– Facile, il n’a qu’une oreille. Le policier commence à s’énerver :

– Réfléchis un peu … Normal qu’il n’ait qu’une oreille, il est de profil !!!

Il se retourne vers la troisième blonde et lui lance :

– Bon, réfléchis bien avant de dire une connerie comme tes copines …

Comment reconnaîtrais-tu le suspect ?

La blonde un peu stressée et paniquée réfléchit avant de lancer un :

– Euh … facile, il porte des lentilles de contact.

Le policier qui n’était pas au courant de cet indice va donc voir le dossier et vérifie l’information, et effectivement, le suspect portait bien des lentilles de contact Il retourne vers la blonde, très surpris et lui demande :

– Félicitations, le suspect porte bien des lentilles, mais comment as-tu deviné ?

– Facile… avec une seule oreille, il ne pouvait pas porter de lunettes !!!

 

 

 

 

 Ce mercredi matin, c’est le catéchisme. Nous sommes début avril, à l’approche de Pâques.

 Le curé de service qui fait le catéchisme a décidé de faire réfléchir tout son petit monde sur Jésus.

 Alors la question posée est :

 -Puisque le Bon Dieu a ressuscité d’entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ?

 Le petit Thomas lève la main et dit :

 – Le Bon Dieu est au Paradis. La petite Sophie dit : – Le Bon Dieu est dans mon cœur. Le petit Toto tout énervé lève la main, se lève et crie :

 -Je sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains ! Toute la petite assemblée se tait, regarde le curé pour savoir si c’est la bonne réponse, mais celui-ci est abasourdi par la réponse de Toto. Après quelques secondes, il demande à Toto pourquoi il pense que le Bon Dieu est dans sa salle de bains.

 Toto répond : – Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant

 – ” BON DIEU, T’ES ENCORE LÀ ? ” 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un agriculteur avait des chiots qu’il voulait vendre. 
Il peint un panneau annonçant la vente des 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau il sentit qu’on tirait sur sa salopette. Il regarda vers le bas et rencontra les yeux d’un petit garçon.
« Monsieur, dit-il, je veux acheter un de vos chiots »
« Eh bien »,  dit le fermier, en essuyant la sueur à l’arrière de son cou :« Ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d’argent ».
Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche il sortit un peu de monnaie et la tendit à l’agriculteur.
« J’ai trente-neuf centimes. Est-ce suffisant pour en acheter un ? »
« Bien sûr » dit le fermier, et il siffla « Ici, Dolly! » appela t-il …
Quittant la niche et descendant la rampe, Dolly courut suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture le petit garçon remarqua quelque chose d’autre qui remuait à l’intérieur de la niche.
Lentement une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa. Ensuite, de manière un peu maladroite le petit chiot clopina vers les autres faisant de son mieux pour les rattraper …
«Je veux celui-là » dit le petit garçon pointant ce dernier.
L’agriculteur s’agenouilla à côté du petit garçon et lui dit :
« Mon garçon, tu ne veux pas ce chiot, il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens ».
Le petit garçon recula de la clôture se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon. Ce faisant il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue …
En regardant l’agriculteur, il dit :
«Vous voyez, monsieur,  je ne cours pas très bien moi-même non plus et il aura besoin  de quelqu’un qui le comprend ».
Des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot …
Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.
« Combien ? » demanda le petit garçon …
« Rien », répondit le paysan , « il n’y a pas de prix pour l’amour ».

Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu’un qui les comprenne.

 

Après cette petite histoire dont je ne sais pas si elle est véridique, mais elle est tellement pleine d’espérance, nous allons passer à notre vidéo du jour lecteur.

 

Le temps des rencontres parents-profs arrive …
Bon courage lecteur !!!

 

 

 

 

Gene